LEONIN livre avec ce premier projet solo la richesse d’une matière sonore où rien n’est interdit. L’électro puissante se mêle à la grâce du classique en nous livrant une transe sophistiquée.
De formation classique, Raphaël Coqblin est d’abord violoniste. Membre régulier de l’Orchestre National de France ou encore de l’Orchestre Philharmonique de Radio France, il se produit également au sein des plus grands festivals internationaux sous la baguette du maestro Esa-Pekka Salonen ou encore Gustavo Dudamel.
Toujours avec son violon mais cette fois dans d’autres registres, il accompagne tout autant Benjamin Clementine, Matthieu Chedid (Lamomali), Papooz, ou encore Etienne Daho, en tournées ou en studio. Raphaël ne se refuse aucune influence et fait ses premières armes dans la composition électro-acoustique avec le MiniOrchestra en 2008, sous le regard bienveillant de leur mentor Hector Zazou.
Très sensible à l’esthétique de la matière sonore comme visuelle, il va naturellement explorer la musique à l’image en tant que compositeur et arrangeur. Il signera dès 2008 les bandes originales de plus de quinze documentaires pour France 2, France 5, Canal+ et Arte, avec notamment « Hema de l’Himalaya » en 2011.
En 2013, il co-fonde avec Jérémie Poirier-Quinot le groupe SatinCoco. Dès ses débuts, cet ambitieux projet qui fusionne déjà l’électro avec une formation classique à géométrie variable, se produit au WorldWide festival à Sète, porté par l’enthousiasme de Gill Peterson (vidéo)